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| Champ | Type de champ | Valeur |
|---|
| affTitre | String | Curare |
| classement | String | curare |
| dateRevision | Date | 2017-03-02 |
| cibleLiens | Boolean | Oui |
| variantes | Liste de String, délimiteur : ; | Curare |
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| Champ | Type de champ | Valeurs autorisées | Valeur |
|---|
| entree | Page | | Curare |
| sousEntree | String | | |
| disciplines | Liste de String, délimiteur : , | | Pharmacognosie • Pharmacologie |
| illustration | String | | |
| legendeIllus | String | | |
| synonyme | String | | |
| anglais | String | | curare |
| espagnol | String | | curare |
| allemand | String | | Kurare |
| etymologie | Text | | |
| typeGram | String | n. · adj · adj. et n. · acron. · dim. · subst. · v. · n. prop. · n. vern. · préf. · suff. · p.p. et substant. · Adj. et substant. | n. |
| genre | String | m. · f. | m. |
| nombre | String | s. · pl. | |
| definition | Text | | Historiquement, nom désignant des extraits complexes préparés par les Amérindiens d’Amérique du Sud, utilisés comme poison de flèche. Classification selon des caractères ethnobotaniques, en particulier la forme du récipient utilisé pour la conservation (en tube, en pot, en calebasse…) et surtout selon la nature des alcaloïdes qu’ils contiennent : alcaloïdes bis-indoliques très toxiques (par exemple toxiférine I) de plusieurs espèces de Loganiaceae du genre Strychnos, alcaloïdes bis-benzylisoquinoléiques, par exemple (+)-tubocurarine, de plusieurs espèces de Menispermaceae du genre Chondrodendron ; dans tous ces alcaloïdes, présence constante d’au moins une fonction ammonium quaternaire, deux le plus souvent.On distingue : 1) les curares non dépolarisants (cholinomimétiques), comme les analogues de synthèse de la d-tubocurarine (atracurium, pancuronium), qui se fixent sur le récepteur nicotinique de la plaque motrice de façon compétitive,empêchant laction de lacétylcholine, mais dont les effets sont surmontables par un excès dacétylcholine ;2) des curares dépolarisants (succinylcholine), dont les effets sont liés à une stimulation excessive des récepteurs nicotiniques de la plaque motrice, entraînant un blocage de la repola repolarisation et, ainsi, un blocage neuromusculaire. |
